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Olga
T3 |
Edition originale |
DL 09/2002
Imp
08/2002
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Mon
édition |
EO |
Cote 03 |
NC |
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Résumé T3
Site Dargaud janvier 2004 : Résumé des
épisodes précédents : Isaac Sofer, peintre sans le sou, a embarqué sans
trop réfléchir sur le bateau de Jean Mainbasse, ex-pirate qui espérait
se couvrir de gloire en donnant son nom au pôle Sud. Isaac, lui,
espérait faire fortune assez vite et rentrer à Paris épouser son Alice.
Maintenant, les espérances de gloire sont loin, et Jean Mainbasse est de
très mauvais poil. Après avoir balancé à la flotte les marins suédois
recueillis à son bord — c’est lui qui a découvert les terres de glace,
pas les Suédois —, il s’en prend à Isaac parce qu’il porte la poisse.
S’ensuit une castagne qui vire au carnage. Mainbasse rejoint les Suédois
à la flotte, les morts suivent le même chemin, et il ne reste plus qu’à
trier les blessés : ceux qu’il faut " couper " et ceux qu’on peut "
réparer ". Vu que le chirurgien est mort, c’est Isaac qui coupe et
répare.
Pendant ce temps, après avoir délicatement papoté de choses et d’autres
en buvant des coups, Alice et Philippe du Chemin Vert finissent par
succomber à leurs charmes réciproques.
Quelques péripéties plus loin, Isaac et son copain Jacques, seuls
rescapés de l’équipage, retournent aux Antilles. Après s’être fait jeter
par la Clotilde rencontrée jadis dans les jardins du gouverneur (du
temps où Jean Mainbasse était florissant, et lui aussi), Isaac harponne
Olga, une étrangère assez attractive qui le met dans tous ses états :
elle ne couche pas — " Je promisse ma mama pas avant mariage " — mais
elle veut bien " maik le pipe ". C’est très émotionnant, mais voilà que
débarque un rival assez " jalousse " qui va " pôt-être " zigouiller
Isaac.
Là, ça commence à bien faire. Et Isaac, perdu sur une plage avec Jacques
(qui s’est fait mettre la tête au carré sans trouver de fille non plus),
sait enfin ce qu’il veut : " J’ai envie de rentrer chez moi. "
Après une publication estivale (remarquée) dans Télérama, voilà Isaac
plus paumé que jamais. Tout va mal et tout se dégrade, ce qui n’empêche
pas l’hilarité — entre autres, la séquence chirurgie, avec " réparation
" des blessés est irrésistible. Pour le reste, on a tout dit de cette
série — charme et sensibilité, dessin formidablement expressif,
découpage virtuose de l’action, drôlerie des dialogues — sans oublier
une mise en couleur d’une rare beauté, signé Walter & Yuka.
Dos : "Nous nous sommes mis à boire beaucoup. Puis
à parler. Puis à boire, puis à gueuler. Nous étions trop saouls pour
nous battre. Finalement, nous avons tous vomi. Tout a été beaucoup
mieux."
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